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| Joan Laporta |
Joan Laporta, président du FC Barcelone, fait face à une vague de critiques et d'appels à la démission, notamment suite à l'affaire Dani Olmo et Pau Victor. Malgré cette pression, il affirme son intention de mener son mandat à terme, soit jusqu'en 2028.
L'affaire Dani Olmo et Pau Victor a exacerbé les tensions. L'impossibilité d'inscrire les deux joueurs pour la deuxième partie de la saison, en raison des contraintes du fair-play financier imposées par LaLiga, a suscité une vive réaction des socios et des groupes d'opposition. Ces derniers reprochent à Laporta une gestion financière qu'ils jugent inadéquate. Il est important de souligner que le problème principal n'est pas une règle interdisant une double inscription, mais plutôt l'interprétation par LaLiga des règles du fair-play financier et l'insuffisance des mesures prises par le Barça au moment de la clôture des comptes.
l'opposition à Laporta est forte et coordonnée. Des groupes comme "Sí al Futur", dirigé par Víctor Font, exigent sa démission immédiate et menacent de déposer une motion de censure s'il ne se soumet pas à un vote de confiance. L'information souligne même que le Barça est devenu la risée de l'Europe à cause de ces scandales. L'extrait précise que Laporta refuse catégoriquement de démissionner et qu'il compte déposer un recours auprès du Conseil Supérieur du Sport (CSD) pour tenter de débloquer la situation d'Olmo et Victor.
Malgré cette pression intense, Laporta reste confiant et affirme que les mesures prises pour assainir les finances du club, notamment le retour à la règle du 1:1 (qui permet d'investir en fonction des revenus générés), commencent à porter leurs fruits. Il insiste sur la nécessité de maintenir l'unité et de ne pas céder aux divisions.
La situation actuelle met en lumière les défis complexes auxquels Laporta est confronté : gérer les attentes des supporters, respecter les exigences strictes de LaLiga en matière de fair-play financier et maintenir la compétitivité sportive de l'équipe. L'affaire Olmo et Victor est un symbole de cette triple contrainte.
Malgré cette pression intense, Laporta reste confiant et affirme que les mesures prises pour assainir les finances du club, notamment le retour à la règle du 1:1 (qui permet d'investir en fonction des revenus générés), commencent à porter leurs fruits. Il insiste sur la nécessité de maintenir l'unité et de ne pas céder aux divisions.
La situation actuelle met en lumière les défis complexes auxquels Laporta est confronté : gérer les attentes des supporters, respecter les exigences strictes de LaLiga en matière de fair-play financier et maintenir la compétitivité sportive de l'équipe. L'affaire Olmo et Victor est un symbole de cette triple contrainte.
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